Journal de prisonniers.
Le récit d'un calvaire d'une durée de vacances scolaires. Journal d'un prisonnier c'est deux cent pages à vingt euros que l'on retrouvera par milliers sous les sapins qui penchent à droite, voire très à droite.
Un autre monde.
J'ai écrit deux cent billets. Avec cette impression assez dérangeante que le monde s'est transformé, sans avoir changé.
Nous, escargots.
Mon blog est fait de je. Un journal intime public plutôt que des publications d'un journaliste
Tirez la chasse avec douceur.
Profitez de cet instant délesté. Prenez le temps de remercier votre corps de fonctionner. Remontez délicatement votre pantalon.
À la faveur de l'automne : suite.
Même saison, autre époque. Dans cette maison de village, les lavabos ont un robinet pour l'eau froide et un robinet pour l'eau chaude.
À la faveur de l'automne.
Et voici la vague de froid, s'étirant en hauteur par un vent fort.
À l'ombre de l'olivier.
Je pourrais parler des belles choses qui se sont passées cette semaine, de l'accord de paix à Gaza aux premiers wall walks de Jean-Bastien au Cross-fit, mais je n'ai que peu de temps.
Phrases courtes pour dire long.
"Regarde, il y a papa qui fait l’écrivain."
Dernier sur l'actu.
Je tente un énième sevrage d'actualités. Je ne scrolle plus, je ne lis plus, je ne regarde (presque) plus (c'est un sevrage).
Torture in-ouie.
Ce n'est qu'une fois l'été fini que l'on se rend compte de ce que l'on a subit.