Forza.
L’Italie m’avait manquée.
J’avais la voix trop faible et les gestes trop mesurés ces derniers mois.
L'art de la queue.
À vrai dire, je ne savais pas si je devais en rire. Nous étions là, français, allemands, espagnols, finlandais et suédois, à regarder ces queues.
L'insoutenable poids d'avoir.
Quelques lignes m'ont piqué, sans douleur, à la lecture de L'insoutenable légèreté de l'être.
Pénurie ou la vie.
Je manque d'inspiration en ce moment.
Mais on ne parle que de pénuries dans l'actualité, ce n'est pas de ma faute.
La Descente.
J'ai un bilan carbone désastreux. Pas autant que celui de Bernard Arnault, mais je ne sais pas ce que je ferais si j'avais un jet. Mais là n'est pas le sujet.
Dans goodbye, il y a good.
Rien ne nous appartient réellement.
Ni personne. Ainsi, on ne perd rien. Ni personne. On savoure, on jouit, on aime l'éphémère.
Shinrin Yoku.
Ceci est une histoire vraie. Celle de Lucy Jones. Lucy Jones, comme d'autres Lucy et d'autres Jones très certainement, était aux prises avec sa santé mentale.
Bouche.
De ces paroles que vous lirez ici, Aucune n'est de moi, Hormis ce semblant de poésie, Cette Bouche que j'ai sous mes doigts, Elle a été écrite par Blier et Cabadzi, Et inspire aujourd'hui tout en moi.
À titre posthume.
Je suis assis sur le tourniquet, mes mains frêles agrippées à l'anneau central comme si ma vie en dépendait.
Lost in the shuffle.
L'évidence pour l'un ne l'est pas pour l'autre. Perdu dans mes réflexions, j'ai ainsi oublié l'évidence d'écrire lost in the shuffle.