Bouillabaisse.
Alors que François Deschamps quittait Marseille en 2052 dans le roman de Barjavel, on a sauté du lit ce samedi pour se rendre dans la Cité Phocéenne.
De hauts et de bas.
Premier lundi du mois de novembre. Il fait déjà nuit, Halloween a officiellement clôturé l'automne, la Toussaint a officiellement lancé l'hiver, nous ne sommes qu'au début d'un long tunnel.
Flash Info.
Pardonnez le dérangement un mercredi, soir qui plus est. Il s'avère que Murray Head, tranquillement installé dans le Béarn depuis quelques années, a lui aussi allumé sa télévision ce matin au réveil et a renversé son café sur son jeans propre.
Goutte froide.
Crever. Noyé dans sa maison. Submergé dans sa voiture. Emporté par une coulée de boue.
Mish-mash.
L'antidote du dimanche, le brunch bulgare, le bb.
Des oeufs, du fromage, des poivrons, des oignons, et on brouille. On brouille, on brouille, on brouille pour se débarbouiller.
Cinquante neuf minutes.
Cinquante huit après avoir écrit le titre. C'est le temps qu'il me reste pour écrire mon billet.
Eject.
Plutôt que d'écrire, cette semaine j'ai préféré lire, relire, aller de l'avant, faire marche arrière. Plus j'ai d'idées en tête, plus il est difficile de les faire sortir.
Ken Pop.
"Nice to meet you." Laurent, tignasse grise bien brossée vers l'arrière et buste à doudoune sans manche toujours penché vers l'avant, a choisi l'approche anglophone pour faire connaissance avec toute la clientèle du bar.
Interlude culinaire 3.
Façades rouges, oranges, jaunes, aux pieds desquelles à la fin de l’été les feuilles se confondent en miroir.
Priorité à droite.
Elle avait déjà envahit nos communes. À coups de marquages au sol, de panneaux clignotants, de coups de klaxons et d'ailes gauches enfoncées.