Insomnies.
Changement d'humeur. Contrairement aux dirigeant iraniens, j'ai dû changer de programme.
Crema apaisante.
Quand il disait que le billet allait être salé, il ne pensait pas si bien dire. Car, quand rien ne va plus, on prend la direction de l'Italie, pour se cacher sous sa gastronomie
CQFD.
Oklahoma City vit l'effervescence des Finales et je suis au calme à Cliousclat (Booba, si tu me lis(ais)).
Ivresse et détresse.
Je me suis réveillé plus tôt. Mais je commence mon billet trop tard. J'avais promenade matinale.
Sans arrêt, sans muguet.
J'écris jeudi. Je ne suis pas d'humeur à fêter le Travail, ce gros enculé ne le mérite pas.
Sous l'eau.
En Bretagne, il ne pleut que sur les cons. Mais dans le Sud, il pleut sur tout le monde.
Un dimanche de campagne.
Entre le déménagement et la coloscopie, je n'ai pas le temps de faire le procès en appel de Marine Le Pen.
Surprise.
J'ai raté l'anniversaire du blog. Difficile pourtant d'oublier, il est entré dans ma vie quand la Russie a envahit l'Ukraine.
Aux âmes, citoyens.
Je me cache dans les temps de Marcel Pagnol. J’arpente les mêmes routes provençales, me nourris de son insouciance, vis ses histoires sans drame.
Joe le taxi.
"J'ai besoin d'un taxi, pas de munitions."